Alexandros G .Sfakianakis,ENT,Anapafeos 5 Agios Nikolaos Crete 72100 Greece,00302841026182

Δευτέρα 22 Απριλίου 2019

Cancer Radiothérapie

Prévention médicale et traitement des complications urologiques et néphrologiques secondaires à la radiothérapie

Publication date: Available online 9 April 2019

Source: Cancer/Radiothérapie

Author(s): A. Rehailia-Blanchard, M.Y. He, C. Rancoule, É. Guillaume, J.-B. Guy, N. Vial, A. Nivet, H. Orliac, C. Chargari, N. Magné



Prévention médicale et traitement des complications urologiques et néphrologiques secondaires à la radiothérapie

Publication date: Available online 9 April 2019

Source: Cancer/Radiothérapie

Author(s): A. Rehailia-Blanchard, M.Y. He, C. Rancoule, É. Guillaume, J.-B. Guy, N. Vial, A. Nivet, H. Orliac, C. Chargari, N. Magné



Effets de l'irradiation à haute dose sur la vascularisation : physiopathologie et conséquences cliniques

Publication date: Available online 6 April 2019

Source: Cancer/Radiothérapie

Author(s): A. Nivet, M. Schlienger, P. Clavère, F. Huguet



Prise en charge des patients atteints de métastases cérébrales de mélanome

Publication date: Available online 5 April 2019

Source: Cancer/Radiothérapie

Author(s): A. Modesto, C. Chira, J.-C. Sol, V. Lubrano, S. Boulinguez, C. Pagès, V. Sibaud, C. Gomez-Roca, É. Moyal, N. Meyer



Prise en charge des patients atteints de métastases cérébrales de mélanome

Publication date: Available online 5 April 2019

Source: Cancer/Radiothérapie

Author(s): A. Modesto, C. Chira, J.-C. Sol, V. Lubrano, S. Boulinguez, C. Pagès, V. Sibaud, C. Gomez-Roca, É. Moyal, N. Meyer



Erratum to: "Multidisciplinary treatment approach for primary thyroid spindle cell sarcoma: A case report" [Cancer Radiother. 23 (2019) 46–9]

Publication date: Available online 5 April 2019

Source: Cancer/Radiothérapie

Author(s): F. Navarria, M. Gigante, M. Mascarin, F. Italia, L. Barresi, L. Barzan, G. Bertola, A. Buonadonna, V. Canzonieri, A. De Paoli



Effets de l'irradiation à haute dose sur la vascularisation : physiopathologie et conséquences cliniques

Publication date: Available online 5 April 2019

Source: Cancer/Radiothérapie

Author(s): A. Nivet, M. Schlienger, P. Clavère, F. Huguet



Irradiation mammaire locorégionale gauche avec modulation d'intensité rotationnelle et inspiration profonde : comparaison dosimétrique

Publication date: Available online 3 April 2019

Source: Cancer/Radiothérapie

Author(s): É. Fessart, F. Crop, E. Tresch, X. Mirabel, É. Lartigau, D. Pasquier

Résumé
Objectif de l'étude

L'irradiation adjuvante locorégionale des cancers du sein gauche est responsable d'une morbidité cardiaque à long terme. L'inspiration profonde est utilisée en radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle pour diminuer les doses cardiaques. Peu d'études ont évalué la radiothérapie conformationnelle avec modulation d'intensité rotationnelle en inspiration profonde dans cette indication. L'objectif de notre étude était de comparer les données dosimétriques du cœur et de ses sous-structures, en inspiration profonde par rapport à la respiration libre pour la radiothérapie conformationnelle avec modulation d'intensité rotationnelle mammaire et ganglionnaire gauche.

Matériel et méthode

Cette étude dosimétrique a porté sur les dossiers de neuf patientes prises en charge entre 2008 et 2012 et les traitements par irradiation en conditions stéréotaxiques ont concerné quatre seins et cinq parois thoraciques gauches et aires ganglionnaires. Outre les doses dans les organes à risque recommandées, les doses dans les artères coronaires, la région interventriculaire antérieure et la valve aortique ont été comparées.

Résultats

Les plans de traitements étaient comparables pour les volumes cibles. L'inspiration profonde par rapport à la respiration libre diminuait la dose cardiaque (dose moyenne de 4,8 Gy contre 6,6 Gy, p  = 0,008 ; dose dans 2 % du volume de 16,8 Gy contre 23,3 Gy, p = 0,008 ; volume recevant 25 Gy de 0,8 % contre 2,2 %, p = 0,008 ; volume recevant 30 Gy de 0,4 % contre 1,2 %, p = 0,009), dans les artères coronaires droite (dose moyenne de 6 Gy contre 8,9 Gy, p = 0,028), dans l'artère interventriculaire antérieure (dose moyenne de 9,6 Gy contre 14,6 Gy, p = 0,021), dans la région interventriculaire antérieures (dose dans 2 % du volume de 17,4 Gy contre 24,6 Gy, p = 0,021), dans la valve aortique (dose moyenne de 4,8 Gy contre 7 Gy, p = 0,028). Les doses dans d'autres organes à risque étaient comparables.

Conclusion

La radiothérapie conformationnelle avec modulation d'intensité rotationnelle en inspiration profonde permet une meilleure épargne du cœur, des artères coronaires droite et interventriculaire antérieure, et de la valve aortique par rapport aux techniques de respiration libre, pour l'irradiation adjuvante locorégionale des cancers du sein gauche.

Abstract
Purpose

Adjuvant left-sided breast cancer locoregional radiotherapy can be accounted for long-term cardiac toxicity. The deep inspiration breath hold techniques can reduce cardiac doses. Only a few studies have investigated rotational intensity-modulated radiotherapy with deep inspiration breath hold.

Material and methods

We conducted a dosimetric study comparing rotational intensity-modulated radiotherapy in free breathing with deep inspiration breath hold for irradiation of left breast cancer and locoregional lymph nodes. Doses to organs at risk were compared, as well as doses to coronary arteries, left anterior descending coronary artery region, and aortic valve.

Results

The data from nine patients were included in the study. Treatment plans were comparable for target volumes. The deep inspiration breath hold delivery technique, compared with free breathing, reduced radiation dose to the heart (mean dose 4.8 Gy vs. 6.6 Gy, p = 0.008; dose in 2% of the volume 16.8 Gy vs. 23.3 Gy, p = 0.008; volume receiving 25 Gy 0.8% vs. 2,2%, p = 0.008; volume receiving 30 Gy 0.4% vs. 1.2%, p = 0.009), as well as to the right coronary artery (mean dose 6 Gy vs. 8.9 Gy, p = 0.028), to the left anterior descending artery (mean dose 9.6 Gy vs. 14.6 Gy, p = 0.021), to the left anterior descending coronary artery region (dose in 2% of the volume 17.4 Gy vs. 24.6 Gy, p = 0.021), and to the aortic valve (mean dose 4.8 Gy vs. 7 Gy, p = 0.028). Other doses to organs at risk were similar.

Conclusion

Rotational intensity-modulated radiotherapy with deep inspiration breath hold is associated with better sparing of the heart, on the right and left anterior descending coronary arteries, and on the aortic valve, compared with free breathing techniques, for adjuvant left breast cancer locoregional irradiation.



Radiothérapie en conditions stéréotaxiques du carcinome hépatocellulaire : résultats d'une étude rétrospective multicentrique

Publication date: Available online 2 April 2019

Source: Cancer/Radiothérapie

Author(s): N. Scher, G. Janoray, F.-G. Riet, A.-G. Le Bayon, K. Debbi, S. Lévy, P. Louisot, P. Garaud, E. Chajon, I. Barillot, É. Salamé, R. de Crevoisier, S. Chapet, G. Calais

Résumé
Objectif de l'étude

L'objectif de ce travail était d'écrire le contrôle local, la survie globale, la survie sans progression et la toxicité de la radiothérapie en conditions stéréotaxiques par CyberKnife® pour les carcinomes hépatocellulaires.

Matériels et méthodes

Il s'agit d'une étude observationnelle rétrospective et multicentrique, menée au centre Eugène-Marquis à Rennes et au centre hospitalier universitaire Bretonneau à Tours, entre novembre 2010 et décembre 2016. Le traitement a été réalisé en situation de sauvetage, en d'attente d'une transplantation hépatique ou en dernier recours.

Résultats

Cent trente-six patients ont été consécutivement inclus dans l'étude. Le suivi médian était de 13 mois. La dose médiane totale prescrite était de 45 Gy en trois fractions sur 5 jours. Les taux de survie globale, de survie sans progression et de contrôle local à 1 an et 2 ans étaient respectivement de 79,8 % et 63,5 % ; de 61,3 % et 39,4 % ; de 94,5 % et 91 %. Deux évènements de toxicité aiguë de grade 3 et deux de toxicité tardive de grade 4 ont été rapportés. Sept patients ont souffert d'une hépatite radio-induite classique et 13 d'une hépatite radio-induite non classique. Le stade selon les critères diagnostiques de Barcelone (Barcelona Clinic Liver Cancer [BCLC]), l'indice de performance selon l'Organisation mondiale de la santé et le volume cible prévisionnel étaient corrélés avec la survie globale en analyse de Cox unifactorielle.

Conclusion

La radiothérapie en conditions stéréotaxiques est un traitement efficace et bien toléré pour les carcinomes hépatocellulaires inopérables ou en attente de transplantation. La toxicité est principalement liée au terrain cirrhotique et implique une sélection des patients et des contraintes de doses strictes sur les organes à risque.

Abstract
Purpose

The purpose of this paper was to describe local control, overall survival, progression-free survival and toxicity of CyberKnife®-based stereotactic body radiation therapy of hepatocellular carcinoma.

Material and methods

Records of all the patients treated for hepatocellular carcinoma at the Eugene-Marquis cancer centre, Rennes and the Bretonneau hospital, Tours (France), between November 2010 and December 2016, were reviewed. Radiation therapy was performed as a salvage treatment, while awaiting liver transplantation or if no other treatment was possible.

Results

One hundred and thirty-six patients were consecutively included in the study. The median follow-up was 13 months. Median total dose prescribed, fractionation and overall treatment time were respectively 45 Gy, three fractions and 5 days. Overall survival, progression-free survival and local control rates at 1 year and 2 years were 79.8 % and 63.5 %, 61.3 % and 39.4 %; 94.5 % and 91 %. Two grade 3 acute toxicity events and two grade 4 late toxicity events corresponding to a duodenal ulcer have been reported. Seven patients underwent classic radiation-induced hepatitis and 13 patients showed non-classical radiation-induced hepatitis. Barcelona Clinic Liver Cancer stage, World Health Organisation grade and planning target volume were correlated with overall survival in univariate Cox analysis.

Conclusion

Stereotactic body radiation therapy is effective and well-tolerated for inoperable hepatocellular carcinoma or as a bridge to liver transplantation. Toxicity is mainly related to cirrhotic background and requires a selection of patients and strict dose constraints.



Chest wall pain following lung stereotactic body radiation therapy using 48 Gy in three fractions: A search for predictors

Publication date: Available online 2 April 2019

Source: Cancer/Radiothérapie

Author(s): J. Albers, W. Parker, J. Kildea, C. Pembroke, S. Faria

Abstract
Purpose

Chest wall pain is an uncommon but bothersome late complication following lung stereotactic body radiation therapy. Despite numerous studies investigating predictors of chest wall pain, no clear consensus has been established for a chest wall constraint. The aim of our study was to investigate factors related to chest wall pain in a homogeneous group of patients treated at our institution.

Patients and methods

All 122 patients were treated with the same stereotactic body radiation therapy regimen of 48 Gy in three fractions, seen for at least 6 months of follow-up, and planned with heterogeneity correction. Chest wall pain was scored according to the Common Terminology Criteria for Adverse Events classification v3.0. Patient (age, sex, diabetes, osteoporosis), tumour (planning target volume, volume of the overlapping region between planning target volume and chest wall) and chest wall dosimetric parameters (volumes receiving at least 30, 40, and 50 Gy, the minimal doses received by the highest irradiated 1, 2, and 5 cm3, and maximum dose) were collected. The correlation between chest wall pain (grade 2 or higher) and the different parameters was evaluated using univariate and multivariate logistic regression.

Results

Median follow-up was 18 months (range: 6–56 months). Twelve patients out of 122 developed chest wall pain of any grade (seven with grade 1, three with grade 2 and two with grade 3 pain). In univariate analysis, only the volume receiving 30 Gy or more (P = 0.034) and the volume of the overlapping region between the planning target volume and chest wall (P = 0.038) significantly predicted chest wall pain, but these variables were later proved non-significant in multivariate regression.

Conclusion

Our analysis could not find any correlation between the studied parameters and chest wall pain. Considering our present study and the wide range of differing results from the literature, a reasonable conclusion is that a constraint for chest wall pain is yet to be defined.

Résumé
Objectif de l'étude

La douleur de la paroi thoracique est une complication tardive plutôt rare, mais problématique de la radiothérapie stéréotaxique pulmonaire. Malgré de nombreuses études sur les prédicteurs de la douleur pariétale, aucun consensus clair n'a été établi quant à une contrainte dosimétrique pour la paroi thoracique. L'objectif de notre étude était d'analyser les facteurs liés à la douleur pariétale dans un groupe homogène de patients pris en charge dans notre centre.

Patients et méthodes

Cent-vingt-deux patients ont été pris en charge par une radiothérapie stéréotaxique de 48 Gy en trois fractions planifiée avec une correction d'hétérogénéité et ont été observés pendant au moins 6 mois après le traitement. La douleur pariétale a été évaluée selon le Common Terminology Criteria for Adverse Events, version 3.0. Les différents paramètres relatifs aux patients (âge, sexe, diabète, ostéoporose), aux tumeurs (volume cible prévisionnel, volume commun entre le volume cible prévisionnel et la paroi thoracique) et à la dosimétrie de la paroi thoracique (volumes recevant au moins 30 Gy, 40 Gy, ou 50 Gy, et la dose minimale dans le volume de 1, 2 ou 5 cm3 le plus irradié, et la dose maximale) ont été recueillis. La corrélation entre la douleur pariétale (de grade 2 ou plus) et les différents paramètres a été évaluée en utilisant une régression logistique unifactorielle et multifactorielle.

Résultats

Le suivi après le traitement médian était de 18 mois (extrêmes : 6–56 mois). Douze des 122 patients ont souffert d'une douleur pariétale (sept de grade 1, trois de grade 2 et deux de grade 3). En analyse unifactorielle, seul le volume recevant 30 Gy (p = 0,034) et le volume de la région chevauchante entre le volume cible prévisionnel et la paroi thoracique (p = 0,038) prédisaient significativement la douleur pariétale, mais ces variables se sont révélées plus tard non significatives en régression multifactorielle.

Conclusion

Notre analyse n'a pas trouvé de corrélation entre les paramètres étudiés et la douleur pariétale. Compte tenu de notre étude actuelle et du large éventail de résultats différents provenant de la littérature, une conclusion raisonnable est qu'une contrainte pour la paroi thoracique doit encore être définie.



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